American Bluff
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Réalisateur : |
David O. RUSSELL | ||
Acteurs : |
Christian Bale, Bradley Cooper, Amy Adams, ... | |||
Genre : |
Thriller | |||
Durée : |
2 h 20 | |||
Date de sortie : |
05/02/2014 | |||
Titre original : |
American Hustle | |||
Note "critique" : |
1,83 | |||
Classement 2014 |
154 / 181 |
Résumé : |
.O xx |
.O Irving rosenfeld et sa compagne, deux escrocs, sont obligés par un agent du FBI carrieriste, d'infiltrer la mafia afin de piéger un homme politique new-yorkais. .O. |
Xavier |
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.O. 17/02/2014 Après « Happiness Therapy » l’année dernière qui m’avait laissé très circonspect alors que la critique s’extasiait devant le film de David O’Russel et son casting méga phénoménal qui avait gagné en plus de sa présence dans la liste des meilleurs films, la présence des ses quatre acteurs principaux dans la catégorie meilleur 1 er et 2 nd rôle féminin/masculin (pour revenir quasi bredouille seule Jennifer Lawrence obtenant la statuette), voilà le deuxième effet kiss-cool avec cet « American Bluff » dont l’extrait ne me disait rien qui vaille mais qui se retrouve lui aussi avec pas moins de 10 nominations aux oscars alors que, pour moi, il n’en mérite pas la moitié (et encore, en étant gentil). La mode à Hollywood est de mettre en avant des pieds nickelés : « No pain, No gain », « Burn After Reading », … cet « American Bluff » qui assume à moitié son attachement historique (« cette histoire est plus ou moins arrivée » apparait sur les écrans au début du film) aurait pu (dû ?) être une belle réflexion sur la politique en se centrant sur le personnage du maire interprété par Jeremy Renner plutôt que sur le couple d’escrocs à la petite semaine composé par Amy Adams et Bradley Cooper. Raté, on préfère nous montrer un quatuor qui n’a réussi qu’à m’exaspérer. Le scénario essaye de se la jouer « Usual Suspect » en tentant les fausses pistes mais je n’ai jamais été convaincu et la morale à deux sesterces ne m’a pas réconcilié avec une intrigue qui avait un boulevard pour réfléchir sur le rôle de la police ou des journalistes (ou des fameux « lanceurs d’alertes » si on se rattache au vocabulaire 2014 d’un Edward Snowden) lorsqu’il s’agit de dénoncer des manœuvres peu catholiques tout en se demandant si la fin justifie les moyens. Aller, @ pour le casting mais dans la filmographie de David O’Russel j’ai largement préféré le classique « Fighter »..O. |
Première :
¤ ¤
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Studio / Ciné Live :
# # (+) |
.O. Manipulations, coups fourrés, critique d'un système politique corrompu : on se régale. Du moins, durant la première partie. Car, ensuite, au lieu d'offrir un plaisir crescendo, le film (pourtant Golden Globe de la meilleure comédie) fait du surplace et se dilue dans d'interminables tunnels de bavardages. Un ennui diffus s'installe alors, même si on se consolera avec un trio d'acteurs - Bale, Cooper et Adams - qui marie, avec brio, humour et glamour. |
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